La cuisine vietnamienne
La cuisine vietnamienne a des théories et ingrédients qui la rendent très différente de l’Europe ou des autres cuisines asiatiques. Il est impossible de voyage au Vietnam sans déguster ses plats excellents et s’en mémoriser pour toujours!
Cette cuisine est très structurée avec des caractéristiques bien à elle : marinade courte, pas de beurre, de crème ni d’alcool, pas d’huile pour les salades. Les bouillons et jus sont réalisés avec le produit direct, le sel est très peu utilisé, parfois pas du tout, parfois aussi remplacé par du nuoc mam. Le piment est servi à part. Les herbes pour chaque plat sont ciselées au dernier moment, elles ne sont pas cuites et gardent donc toutes leurs saveurs. Le poivre est rajouté au dernier moment. Les cuissons sont courtes et rapides et les légumes se servent croquants.
C’est une cuisine dont le condiment principal est le nước mắm, une sauce d’anchois ou de différents poissons fermentée dans du sel s’apparentant au garum des anciens Latins. La sauce de soja étant un condiment principalement utilisé dans les plats d’origine chinoise, coréenne ou japonaise.
Le riz est bien sûr une composante essentielle de la cuisine vietnamienne. Il y est plutôt collant, contrairement aux riz utilisés en occident.
Il y a 3 cuisines différentes au Vietnam. Au Sud, avec son climat tropical, on trouve les noix de coco, la citronnelle, le piment, l’ananas et les beaux fruits du delta du Mékong. La cuisine y est souvent sucrée et aigre comme cette fameuse soupe, le bouillon de poisson acide. Au Centre, elle est souvent pimentée, avec des poissons et des crustacés. Au Nord, avec ses quatre saisons, une cuisine rustique avec des légumes et herbes et des poissons d’eau douce.Si vous avez l’occasion de voyage au Vietnam, tout au long du pays, n’oubliez pas à faire un tour de découverte de sa cuisine qui vous aidera à comprendre mieux de sa culture et ses traditions .
“Bun bo Hue” au Centre
L’organisation d’un repas à l’occidentale n’existe pas : pas d’entrée, plat de résistance, dessert, etc. Mais une multitude de plats offerts en même temps sur la même table pour les plus riches, ou plat unique (salés, sucrés, ou les deux) dans les milliers de petits restaurants de rues où les convives se déplacent d’un restaurant à l’autre selon leurs souhaits. Dans les repas de famille, la plupart des plats sont préparés à l’avance et posés au centre de la table.
Cette cuisine est très structurée avec des caractéristiques bien à elle : marinade courte, pas de beurre, de crème ni d’alcool, pas d’huile pour les salades. Les bouillons et jus sont réalisés avec le produit direct, le sel est très peu utilisé, parfois pas du tout, parfois aussi remplacé par du nuoc mam. Le piment est servi à part. Les herbes pour chaque plat sont ciselées au dernier moment, elles ne sont pas cuites et gardent donc toutes leurs saveurs. Le poivre est rajouté au dernier moment. Les cuissons sont courtes et rapides et les légumes se servent croquants.
C’est une cuisine dont le condiment principal est le nước mắm, une sauce d’anchois ou de différents poissons fermentée dans du sel s’apparentant au garum des anciens Latins. La sauce de soja étant un condiment principalement utilisé dans les plats d’origine chinoise, coréenne ou japonaise.
Le riz est bien sûr une composante essentielle de la cuisine vietnamienne. Il y est plutôt collant, contrairement aux riz utilisés en occident.
Il y a 3 cuisines différentes au Vietnam. Au Sud, avec son climat tropical, on trouve les noix de coco, la citronnelle, le piment, l’ananas et les beaux fruits du delta du Mékong. La cuisine y est souvent sucrée et aigre comme cette fameuse soupe, le bouillon de poisson acide. Au Centre, elle est souvent pimentée, avec des poissons et des crustacés. Au Nord, avec ses quatre saisons, une cuisine rustique avec des légumes et herbes et des poissons d’eau douce.Si vous avez l’occasion de voyage au Vietnam, tout au long du pays, n’oubliez pas à faire un tour de découverte de sa cuisine qui vous aidera à comprendre mieux de sa culture et ses traditions .
“Bun bo Hue” au Centre
L’organisation d’un repas à l’occidentale n’existe pas : pas d’entrée, plat de résistance, dessert, etc. Mais une multitude de plats offerts en même temps sur la même table pour les plus riches, ou plat unique (salés, sucrés, ou les deux) dans les milliers de petits restaurants de rues où les convives se déplacent d’un restaurant à l’autre selon leurs souhaits. Dans les repas de famille, la plupart des plats sont préparés à l’avance et posés au centre de la table.